La lettre de Conrad (Fred Uhlman)
« Je ne sais si cette lettre te parviendra un jour. Mais l’écrire rend ma mort, en quelque sorte, plus facile. »
« Je ne sais si cette lettre te parviendra un jour. Mais l’écrire rend ma mort, en quelque sorte, plus facile. »
« Il entra dans ma vie en février 1932 pour n’en jamais sortir. »
« Elle sent qu’elle s’éloigne à une vitesse vertigineuse de nous tous, qui sommes là bien tranquilles à la regarder, de nous qui n’avons pas à mourir ce soir. »
« Pourquoi ne pas être un rhinocéros ? J’aime les changements. »
« J’ai rencontré le Diable pour la première fois le jour où j’ai été renvoyée de la bibliothèque. »
« Dans ce monde, ce n’est pas nous qui choisissons si on nous fait du mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. J’aime mes choix. »
« Certaines choses se cassent, et parfois elles son réparables, mais dans la plupart des cas, on se rend compte que la vie fait en sorte d’en compenser la perte, parfois de manière merveilleuse. »
« Je ferme les yeux, prononce le mot, et je suis de nouveau en Italie, il y a tant d’années. »
« Mon père est mort il y a onze ans, je n’avais alors que quatre ans. Je ne pensais pas avoir de nouveau de ses nouvelles, mais aujourd’hui nous écrivons un livre ensemble. »
« Cher Dieu, aujourd’hui, j’ai eu de quarante à cinquante ans et je n’ai fait que des conneries. »