Plats cuisinés

plats cuisinés

ABECEDAIRE DE LA CONSOMMATION PLUS DURABLE


Cette entrée fait partie de mon Abécédaire de la consommation plus durable: des idées pour une consommation plus durable pour sa santé, son porte-monnaie et la planète.

Plats cuisinés ou faits maison ?

Industriel ou fait maison ?
Idée

Eviter les plats cuisinés industriels, et préférer les plats faits maison. 

« En 2008, la preuve a (…) été faite de l’action délétère des additifs alimentaires [phosphatés] sur le cancer du poumon chez la souris. (…) Or l’utilisation d’additifs phosphatés a explosé. (…) On en trouve aujourd’hui dans les viandes et les charcuteries industrielles (avec conservateurs), certains fromages industriels (particulièrement les pâtes à tartiner), les viennoiseries industrielles (celles du supermarché, pas celles faites par la boulangerie de quartier), presque tous les sodas (colas et autres boissons gazeuses et sucrées), les boissons préparées à base de sirops de fruits, les aliments préparés avec du lait évaporé (y compris les glaces industrielles) et les plats cuisinés industriels. »

David Servan-Schreiber, Anticancer, p. 162.

David Servan-Schreiber recommande d’éviter « tous les produits dont la liste d’ingrédients fait figurer des conservateurs à base de phosphate (calcium phosphate, disodium phosphate, acide phosphorique, sodium triphosphate, tricalcium phosphate, etc.) »

David Servan-Schreiber, Anticancer, p. 162.

« Les aliments industriels, comme les biscuits, les tartes préparées, les quiches, les chips (…) contiennent des « huiles végétales hydrogénées », ou « partiellement hydrogénées ». Ces sont des huiles oméga-6 (soja surtout, parfois palme ou colza) qui ont été modifiées pour devenir solides à température ambiante (…). Cette modification les rend à la fois moins digestes et plus inflammatoires encore que les oméga-6 à l’état naturel. (…) Dans son rapport de 2004, l’institut national de santé des Pays-Bas estime que l’impact de la consommation d’acides gras trans (graisses hydrogénées et partiellement hydrogénées) est de plus de 1’000 décès par an (…). Les huiles hydrogénées sont donc plus meurtrières que les accidents de la route (…). Quant à l’effet plus spécifique de ces huiles industrielles sur le cancer, une nouvelle étude de l’Inserm (…) le confirme : le risque de cancer du sein est presque doublé chez les femmes présentant des taux élevés d’acides gras trans dans leur sang. »

David Servan-Schreiber, Anticancer, p. 141 s.

« Voici [une recommandation très simple] pour ralentir la progression du cancer : (…) éviter toutes les graisses végétales » (Anticancer, p. 150).

David Servan-Schreiber, Anticancer, p. 150.

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